C’est notre premier voyage sans notre fidèle compagnon, notre Toyota Woki, parti vers de nouvelles aventures, avec d’autres passionnés de voyages. Alors nous en profitons pour découvrir un pays que nous ne ferons pas en véhicule. Direction Cabo Verde !! Premier achat .. des valises ! Sur les vols intérieurs, attention à la taille des bagages en soute : 20 kg et 158 cm (hauteur + largeur + longueur). Puis des guides de voyages. Voir notre page sur les informations pratiques (climat, formalités, argent, santé …)
Compte tenu des distances inter-îles, nous ne pourrons pas toutes les visiter. En fonction de nos centres d’intérêts, des liaisons inter-îles,nous en avons retenu quatre : Sal, Sao vicente, Santo Antao et Santiago.
Nous choisissons un vol Paris –> Sal (aéroport Amilcar Cabral International) avec une escale à Lisbonne, avec la compagnie TAP Air Portugal. Afin de profiter au maximum de chaque île retenue, nous décidons d’y rester au moins deux jours entiers.
Les dates retenues pour le vol A/R, il n’y a plus qu’à … voir les liaisons possibles entre les îles et les hébergements.
Comme nous ne partons que quinze jours, nous privilégions les vols entre les îles, plus coûteux que le ferry, mais bien plus rapide … normalement.Il peut y avoir des retards assez fréquents, mais pas le choix, il n’y a qu’une compagnie aérienne, Binter CV, qui assure les liaisons inter-iles. (photo Wikimedia – Diego7864)
Par contre, ce sera le ferry entre Sao Vicente et Santo Antao. Pas d’autre option possible. Bon là encore cela promet … On a lu que « prendre le ferry au cap Vert n’est pas de tout repos : l’océan est capricieux et les horaires varient en permanence »
Afin de « caler » la durée du séjour sur chaque île, en fonction de leurs intérêts, je fais un tableau récapitulatif avec les dates et les horaires des transferts. Sur le papier cela tient la route ! Nous verrons sur place.
Compte tenu de la taille et du poids des valises, nous allons devoir voyager plus léger. C’est vrai qu’avec notre Toyota nous nous sommes rarement posé cette question. Dans la mesure du possible nous allons essayer d’emporter un petit cerf-volant et le matériel nécessaire pour faire des prises de vues aériennes par cerf-volant. Nous commençons à mettre en ligne tous les renseignements que nous glanons sur chacune des îles. il n’est pas sûr que nous puissions mettre à jour durant notre séjour au Cap vert.
Nous avons choisi d’avoir un réceptif sur place, Pura Vida Cabo Verde. Nous avions fait la connaissance de Pascal, son fondateur, via FB. Sur chaque île de l’archipel, il y a des correspondants soit français, soit francophones. En plus des transferts, ils proposent aussi des randos, des visites, de la pêche .. que vous prenez ou non.Leurs coordonnées : site Internet et adresse mail : contact**AT**puravidacaboverde.com (rempalcer **AT*** par @).
En plus de ces paysages, le Cap Vert c’est aussi la musique : métissée d’influences portugaises, africaines et de rythmes brésiliens.
— La Morna (musique nostalgique et plaintive), bien sûr celle de Cesária Évora, mais aussi du chanteur Ildo Lobo qui s’exprimait ainsi : Cap Vert sans morna, pour moi c’est un pays sans soleil sans chaleur ( Cabo Verde sem morna, pa mi el é terra sem sol sem calor)
— La Coladeira, qui se différencie par des rythmes plus brésiliens et africains.
— La Funana et la Mazurka sont d’autres musiques cap-verdiennes très dansantes.
— Le Batuque ….
Pour découvrir et profiter de tous ces genres musicaux, nous avons fait l’acquisition d’un tout petit enregistreur numérique : Le Zoom H1n, compact, léger (60 g – sans les piles), simple à utiliser et de bonne qualité. Pour éviter les bruits parasites, nous lui avons offert une bonnette. Et comme il est capable de faire des enregistrements de plusieurs heures, nous emporterons un petit trépied.